Selon une information confidentielle, mais de source sûre, publiée le 17 mars dernier dans le Washington Post et reprise le lendemain in extenso par l’Agence Associated Press, une section spéciale de la CIA, baptisée « Deep Throat » mènerait à bien dans le plus grand secret, des recherches poussées en laboratoire, sur un site localisé il y a peu, mais impénétrable, connu sous le nom de « Base 51 » et concernant des découvertes récentes de la plus grande importance effectuées lors d’une mission dans une région quasi inaccessible au nord-ouest des contreforts de l’île de Bornéo. Une équipe de scientifiques de haut niveau comprenant notamment le prix Nobel canadien Ben Wilson, encadrée par un groupe paramilitaire fortement armé, aurait pénétré dans une zone occupée depuis le XIXe siècle, et peut-être même auparavant, par une tribu aborigène et semble-t-il anthropophage, totalement inconnue des ethnologues. Le but de cette mission, capturer et ramener vivante, une créature sauvage mi-homme mi-bête, localisée là depuis les années 1960 par certains explorateurs aventuriers et identifiée comme étant « d’aspect simiesque », au poil brun-roux, d’environ 2,5 mètres de hauteur et 180 Kg environ, légèrement voûté, marchant parfois à quatre pattes, mais pouvant aussi courir sur ses jambes postérieures, selon certains témoignages oculaires. (Particularisme de la nature ? Déformation génétique ? Adaptation à l’environnement ?…) Quoi qu’il en soit, cette singularité est sans doute aussi ancienne que l’animal lui-même, puisqu’on la retrouve, fidèlement reproduite, sur une peinture rupestre des grottes de Gua Mardan (Nouvelle Guinée) (1), peinture datée au carbone 14 de – 10 000 ans avant notre ère !

En cette époque où la bio-diversité est en chute libre, le cas de la créature sauvage de Bornéo, au même titre que l’Enfant-Loup du Tarn (France) capturé en 1797 (2) ou le Yéti du Tibet est en tout cas à prendre avec la plus grande considération, tant les recherches en matière de Cryptozoologie n’ont jamais été aussi importantes que depuis ce début de millénaire. Habitant des hautes montagnes, cet « homme-mammifère » étrange ne fut connu officiellement selon certaines sources qu’après le Moyen Age, autour du XVIe siècle, grâce à quelques parchemins non datés avec précision, de la bibliothèque de Jingshi (Chine – Pékin) (3). Les innombrables tentatives de l’homme pour le capturer – ou même simplement l’approcher – furent jusqu’à aujourd’hui toujours réduites à néant.

Pourtant, un film de « l’animal » et des photographies ont bien été réalisés sur place (voir notre document) par l’équipe américaine (4). Les scientifiques les plus compétents en ce domaine ont considéré qu’il pouvait s’agir là d’une survivance possible de l’improbable « chaînon manquant », fameuse hypothèse controversée, permettant de faire le lien assurément entre l’animal et l’Homo Sapiens. Un article à paraître prochainement, du Professeur Ruppert Sibley fils du célèbre Charles Sibley (1917 – 1998), biologiste moléculaire, dans l’incontestée revue « Nature », fait état d’une composition ADN de la bête carnivore tout à fait exceptionnelle et totalement inconnue à ce jour et peut être même de type « exoterrestre » ! Faute d’éléments plus concrets, pour l’instant, le département d’état américain a fait savoir par l’intermédiaire de son porte parole, M. Adam Ereli, répondant aux questions et investigations des journalistes de la presse spécialisée que « rien en l’état actuel des choses ne permettait de valider cette hypothèse », allant même jusqu’à nier l’existence de la créature de la jungle de Bornéo.

Plusieurs membres du groupe écologiste néo-zélandais « Wild Greens » et certains hauts responsables du WWF, qui ont localisé l’endroit de la capture ont décidé de mettre sur pied une expédition en coopération avec l’Institut indonésien de la recherche scientifique pour partir à la recherche d’autres spécimens identiques à « l’animal » séquestré par les services secrets américains sur la zone 51 (5), dans le Nevada (Nellis Air Force Range). Des dizaines d’espèces rares ou nouvelles – grenouilles, papillons, plantes et oiseaux – ont déjà été trouvées sur certaines parties de l’île. L’oiseau dit « mangeur de miel » à tête orange (6) est le premier inconnu découvert sur l’île en plus de 60 ans, selon les précisions du Conservatoire international. « C’est ce qu’on fait de plus proche du Jardin d’Eden sur terre », a déclaré le vice-président du Centre mélanésien pour la préservation de la biodiversité de l’organisation écologiste. Et Bruce Beehler (7) d’ajouter : « Le premier oiseau qu’on a vu à notre camp était une nouvelle espèce. Il y avait aussi plein de grands mammifères qui sont en voie de disparition ailleurs à cause de la chasse… Mais pour l’instant rien concernant la créature !… a-t-il ajouté. Les chercheurs ont pu attraper à la main sans difficulté deux échidnés, mammifères ovipares insectivores de Nouvelle-Guinée et Australie peu connu, et capturer un grand mammifère encore jamais été vu en Indonésie, le kangourou arboricole. On ne le savait jusque là présent que sur une montagne de Papouasie-Nouvelle-Guinée. »

En tout état de cause, si cette découverte mondiale était confirmée, ce serait la première fois dans l’histoire de l’humanité, qu’une nouvelle espèce de mammifère carnivore à station debout, d’une telle envergure, plus de 2 mètres de haut, serait identifiée, selon l’organisation écologiste. (Cependant il nous faut noter que des sources confidentielles font état de l’infiltration au sein de ce groupement d’écologistes de certains agents de désinformation de la CIA, ce qui expliquerait le black out total entourant cette affaire…)

Le prix Nobel de physique, Georges Charpak, interrogé sur cette découverte, qu’il a qualifiée de « grotesque », met en doute cette information. Or l’on connaît les prises de positions radicales – pour ne pas dire plus – du scientifique français concernant tous les domaines du paranormal… Le plus extraordinaire de la situation met toutefois en rapport les similitudes extrêmement étranges de l’ADN de la créature découverte par l’équipe de scientifiques américains et les recherches très discrètes et classées « confidentiel défense » – niveau 5 – (niveau maximum sur une échelle de 5) de certains laboratoires US dépendant du Pentagone et se consacrant exclusivement au génie génétique et notamment au clonage permettant le croisement de différentes races animales et peut-être même humaines. Si cela était, et cette information corroborée, cela voudrait dire que la capture de cette étrange créature, (information toujours conservée secrète à ce jour par les militaires US et totalement censurée par toutes les grandes chaînes TV et grands groupes de presse aux Etats-Unis), n’aurait d’autre but que de conforter certaines recherches très problématiques concernant la Cryptozoologie et ce dans des domaines à la fois scientifiques et militaires. Néanmoins les fuites révélées par le Washington Post augurent d’un possible remaniement des services secrets américains, c’est en tout cas ce que semblaient craindre certains conseillers bien informés à la Maison Blanche et dans l’entourage direct de Georges W. Bush, qui ne s’est pas encore prononcé sur le sujet, mais qui ne pourra de toute façon pas éviter indéfiniment les questions indiscrètes de la presse de son pays, c’est en tout cas le vœu de plus de 65,3 % de ses concitoyens, interrogés sur cette découverte stupéfiante dans un sondage récent.

Douglas Fish traduit de l’américain avec l’aimable autorisation de l’auteur
par Thierry E. Garnier, © & Droits Réservés – Pour la Lettre de Thot – Avril 2006.

.(1) (Arcadia – NdlR) sur la Grotte ornée de Gua Mardan (Nouvelle Guinée) voir :
http://www.speleo.fr/cv_luc.htm

(2) (Arcadia – NdlR) sur l’Enfant-Loup du Tarn voir :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Victor_de_l’Aveyron

(3) (Arcadia – NdlR) voir sur :
http://fr.chinabroadcast.cn/1/2005/01/27/48@54539.htm

(4) Cet «animal» absolument méconnu a fait l’objet de quelques rares articles de presse récents – mais très peu relayés pour cause de censure – aux Etats-Unis et en Europe. Nous remercions ici Mr Douglas S. Fish, de son autorisation pour la reproduction de son article et reproduisons une photographie de la créature ci-dessus avec l’aimable autorisation des auteurs Martin Schandlers & Jonathan Lekbowsky – © DR Nature Corp id, et Washington Post © DR. Cette découverte extraordinaire relance véritablement en tant que science officielle du XXIe siècle la Cryptozoologie en tant que telle, notre article sur le monstre du Loch Ness, voir la [LdThot No 39], concernant les recherches ultra-secrètes effectuées par l’armée britannique pour identifier l’animal marin à l’aide de dauphins, démontre si besoin était l’importance bien réelle qu’accordent dans l’ombre les services secrets, des gouvernements concernés, à la Cryptozoologie… la [LdThot].

(5) (Arcadia – NdlR) voir sur :
http://ufologie.net/htm/nafrf.htm

(6) (Arcadia – NdlR) voir sur :

http://www.lefigaro.fr/sciences/20060209.FIG000000069_un_bestiaire_extraordinaire_decouvert_en_papouasie.html

(7) (Arcadia – NdlR) voir sur :

http://www.futura-sciences.com/news-decouverte-monde-perdu-papouasie-jardin-eden_8201.php