(…) Mais, revenons à M. Miecret-Marlin, à présent… Lors d’une critique sur son blog, d’un livre récent de Patrick Berlier que j’ai eu l’honneur de préfacer, M. Miecret-Marlin, me traite de « chercheur » entre guillemets. Reste à se demander si Philippe Miecret-Marlin est parfaitement qualifié pour distribuer les bons points concernant notre énigme, lui qui a pris une édition Wendelholm de 1979 ( !) de « La vraie langue celtique » de l’abbé Boudet pour une édition originale de 1886 ! ! ! … Mais oui ! Je sais…, je sais… ça paraît totalement incroyable, mais pourtant c’est la stricte vérité ! (Pour une analyse très détaillée de la « Vraie Langue Celtique » de Boudet – vue par Marlin – voir mon post du lundi 31 août 2009, sur le site de RLC-archives.com.).
M. Miecret-Marlin qui, en outre, a ensuite a dépensé une somme considérable pour une fausse dédicace de l’abbé Boudet à Grasset d’Orcet, sur un véritable exemplaire de 1886 ! … a ainsi magnifiquement fait l’imparable et incontestable démonstration de son inculture patente des fondamentaux de Rennes et de sa bibliographie… (ibid. > site de RLC-archives.com.). Ce qui, on en conviendra, est pour un « spécialiste » tel que lui doublé d’un tel… « bibliothécaire », du meilleur effet ! Mais peut-être sous sa casquette d’éditeur, penserez-vous, a-t-il les qualités suffisantes pour se poser en « donneur de brevet de chercheur » ? Pas même ! Là aussi son ignorance et son insuffisance sautent aux yeux : c’est ainsi qu’il propose (par « incompétence » ou « déshonnêteté » ?), à la vente depuis des années un reprint de son édition Wendelholm de « La vraie langue celtique » de Boudet comme étant une véritable réédition de l’édition originale de 1886 !

Par ailleurs, … M. Philippe Miecret-Marlin semble oublier que mon premier livre « Le secret dérobé » reste à ce jour son plus gros score d’édition concernant Rennes-le-Château… pas mal pour un simple « chercheur » non ? La réflexion argumentée voire approfondie ne semble pas être le point fort du gourou de secours des « débunkeurs », et pour cause, en critiquant si sottement le livre de Patrick Berlier quant à de prétendus séjours de l’abbé Saunière sur Lyon, il ne se souvient même plus que la preuve en a tout simplement été définitivement faite par son auteur Octonovo, encore un pseudonyme, décidément, dont il a publié le livre… Ainsi, un même fait avéré est réputé indubitable si c’est Laurent Buchholtzer… véritable patronyme du pseudo Octonovo (1) qui l’annonce à l’OdS, mais relève totalement du fantasme si c’est Patrick Berlier qui l’écrit aux éditions Arqa ? De qui se moque-t-on ? On jugera sur ce simple exemple de l’extraordinaire inculture et mauvaise foi en la matière de M. Philippe Miecret-Marlin !

En ce qui me concerne, je ne suis très certainement, en effet, qu’un chercheur entre guillemets, mais au contraire de Philippe Miecret-Marlin qui se prend pour un vrai éditeur, j’ai toujours tenu mes promesses et surtout le cap dans l’adversité… J’eus ainsi aimé que ce pseudo éditeur de l’époque, c’est à dire Marlin-Miecret, eût été de la même trempe lorsque mon livre publié en 2005 par ses éditions de L’Oeil du Sphinx inspira largement Alexandre Adler pour servir de substrat à son livre « Sociétés secrètes », publié en 2006. À l’époque je fus le seul à monter au créneau contre les toutes puissantes éditions Grasset. Philippe Miecret-Marlin, avec le courage qui le caractérise, s’était piteusement mis aux abonnés absents, ratant ainsi définitivement l’occasion de prouver à tous qu’il était un véritable éditeur. Il n’est donc pour moi, depuis, qu’un tout petit petit « éditeur » entre guillemets !

En voulant stupidement « se payer » le livre pourtant sans prétention de Patrick Berlier parce que j’en avais assuré la préface, Philippe Miecret-Marlin croyait tremper sa plume dans le vitriol : à le lire, il apparaît tout simplement imbu de l’extraordinaire fatuité qui lui tient lieu de bagage intellectuel. Car Philippe Miecret-Marlin, entre autres dérapages, a aussi l’incroyable prétention de se prendre pour un intellectuel…

>Franck Daffos] [@ suivre

PS 1 / Tous les arguments que je présente ici de façon sommaire, concernant M. Marlin-Miecret, ont déjà été de 2007 à 2010, très largement exposé sur les forums du site RLC-archives.com.

(1) En ce qui concerne le dénommé Buchholtzer-Octonovo, j’ai parfaitement démontré les dérapages inqualifiables du personnage dans son premier livre publié « Rennes-le-Château, une affaire paradoxale », éditions œil du Sphinx, ainsi que la médiocrité de ses recherches tant sur la forme que sur le fond dans ce même livre, elles sont amplement détaillées dans mon ouvrage « L’AFFAIRE des Carnets, Réponse à M. Octonovo », (une des meilleures ventes à ce jours des éditions Arqa, dans la collection « Les Bergers d’Arcadie »). Ce livre : « L’AFFAIRE des Carnets, Réponse à M. Octonovo » pointe du doigt, de manière plus générale, la dérive actuelle de certains auteurs peu scrupuleux, avide de notoriété à bon compte. Outre mon travail d’analyse de chercheur entre guillemets, on trouvera en exergue de ce livre une préface largement argumentée de Thierry Garnier, directeur des éditions Arqa sur Buchholtzer-Octonovo et, en fin d’ouvrage, les mises au point cinglantes de Jean-Luc Chaumeil, Gino Sandri et Christian Doumergue – excusez du peu ! – rappelant à Buchholtzer-Octonovo les principes minimum de base en matière de rédaction d’ouvrage. Il faut quand même souligner par ailleurs que Buchholtzer-Octonovo est dans l’Histoire de RLC, depuis un demi siècle (!) le SEUL chercheur contemporain, s’intéressant à cette affaire, à s’être vu gratifié d’une telle réponse sous forme de livre ! A ce titre-là, on peut considérer que le dénommé Buchholtzer-Octonovo est entré vivant au panthéon de la bibliographie castelrennaise…

>[…] Je passe maintenant le flambeau à mon ami Thierry Garnier, pour des révélations, qui ne devraient pas laisser indifférent le chercheur lambda, ayant rencontré ne serait-ce qu’une seule fois dans sa vie l’affaire de Rennes… @ découvrir donc de nouvelles « Chroniques marliennes », dès demain, sur le BLOG des éditions Arqa.