Éditions L’Écran du Monde, 1952, in-8, 192 pp. Ernest Gengenbach ou (de) Gengenbach (1903-1979), livre ici son œuvre majeure. Une oscillation vertigineuse et paradoxale totalement habitée entre occultisme, surréalisme, mysticisme et nihilisme. On pense aux soleils noirs que l’on aime, surtout à Artaud. (Édition originale numérotée 200 sur 200 sur Alfa Mousse).