« Jean Pellet, un personnage attachant… – Le physique de Claude Pieplu, sans la voix grinçante des Shadocks, un optimisme aussi résistant que la roche du Razès sous la morsure du marteau piqueur, la faconde imagée d’un conteur de Provence, la philosophie de Socrate, l’indifférence devant la mort d’un oriental mais en même temps un appétit des bonnes choses de la vie digne de Rabelais, l’érudition ésotérique d’un rosicrucien parvenu au dernier degré de son initiation, la patience d’un bénédictin, le sens de l’observation, et la déduction de Sherlock Holmes… »

Francis Attard

Il n’aura finalement pas eu le temps de l’écrire ce livre dont il nous parlait tant ces deux dernières années et qu’il portait en lui depuis toujours, tel un élève dissipé sur les chemins de l’école buissonnière, son cartable en bandoulière empli de souvenirs moirés consacré au fabuleux trésor de Rennes et à son chandelier à sept branches… – Il est parti maintenant sur les routes empierrées d’éternité, loin des vagabondages des sentes du Razès qu’il connaissait mieux que quiconque.

Des histoires sur Rennes et sur son mystérieux trésor, il en savait des milliers, et pour la plupart, souvent, parfois, il en était l’instigateur éclairé. Jamais (…).


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