« Et ait illis videbam Satanan sicut fulgur de caelo cadente. »

Luc X – 18

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Il n’existe aucune loi, physique ou métaphysique, qui permette de qualifier véritablement le bien-fondé des « intersignes », c’est-à-dire des signes sacrés qui se manifestent objectivement dans le visible naturel de notre noosphère – intersignes uniquement mus et régis par la seule volonté divine.

Le lundi 11 février au matin le pape Benoit XVI bat en retraite – ce en quoi il n’imite pas la longue liste de ses prédécesseurs – et décide à la surprise générale de démissionner de ses fonctions de pasteur suprême de l’Eglise catholique apostolique et romaine. (Seul avant lui, en d’autres temps, Célestin V – et pour d’autres raisons, avait décidé lui aussi de se retirer de la sorte…).

Le soir même, à trois reprises, la foudre venue du ciel s’abattait violemment sur le dôme de la basilique Saint-Pierre au Vatican…

Un drôle d’intersigne quand même, propre à relancer la prophétie de saint Malachie, qui voit en Benoit XVI, le 111e et dernier Pape de la lignée pontificale. Comme quoi l’Apocalypse annoncée par les prophètes chrétiens, loin de s’estomper avec les prophéties mayas de décembre 2012, ne demandait qu’à prendre une autre forme…

Un autre signe qui a tout d’un intersigne.

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Photos Filippo Monteforte ©